VinVin, three points :

"D’un côté je me sens un peu déplacé, l’instrument souriant, le comique de service, qu’on ne craint pas vraiment parce que les blogs, vous le savez bien, n’ont une importance que relative. De l’autre, je sens comme une envie de participer. C’est pernicieux. L’énergie, la convivialité, le tutoiement et le pastis, et me voilà guilleret à serrer la main des futurs puissants, et je remercie en plus...
[...]
Bien que tout cela ressemble à une version démocratique du Parrain, il y a des gens ici pour qui ce n’est pas une grande farce. Je respecte ça, moi qui ne suis engagé dans rien d’autre que ma petite cellule familiale et mes rêves. Il serait facile de tirer sur cette frénésie sous prétexte qu’elle est grossière. Cette frénésie est pourtant vivifiante pour le cynique, et je me sens léger, tout à coup, à prendre les choses graves avec sérieux. La grande comédie est en place et chaque pion est à sa place. Ils m’ont eu, je me mets à réfléchir, à me demander si, quotidiennement, je ne devrais pas m’engager davantage, pour eux ou pour d’autres (ce n’est pas encore la question) un peu comme lorsqu’on rencontre quelqu’un qui s’occupe des pauvres ou des lépreux... Et puis non, réveil, je sais que demain tout ne sera plus qu’un lointain souvenir et que je retournerai à ma vie tendre et douce, me laissant diriger, comme un mouton, par l’une ou l’autre."

Scott Adams, two points :

"I can't write unless both of my ass cheeks are equally touching my chair and my feet are flat on the ground. This is inconvenient because sometimes I feel the need to cross my legs and favor one butt cheek over the other. When I assume that position, the best I can do is stare into space while trying to remember my name, species and gender. Apparently I have some sort of ass-brain neurological connection that needs to be just so."

Maitre Eolas, one point :

"la perspective de relire la prose diarrhéique de certains trolls se croyant nécessaires quand ils ne sont que suffisants n'était pas de nature à me surmotiver non plus"