Wish I wrote it : « La grande arnaque du réchauffement global », où Ian Stewart (oui, ce Ian Stewart là) démonte avec la pédagogie qui a fait sa célébrité un des arguments préférés des climato-sceptiques[1] : le décalage temporel entre température et concentration en CO2 (les élévations de la première précédant chronologiquement celles de la seconde) n'est en rien une preuve que le taux de CO2 n'a aucune influence (y compris immédiate) sur la température.

Notes

[1] non, amis sceptiques, ne vous réjouissez pas à la seule lecture du titre, et lisez bien l'intégralité de l'article