Je ne sais pas si je suis d'accord avec Télérama sur la réponse à la dernière question :

Les acteurs, de première clas­se, assurent le spectacle, alors que la morale de l'histoire ne surprend guère : les coulis­ses de la politique seraient irrespirables, et la réussite pas­serait forcément par la compromission, voire par l'ignominie. Clooney l'humaniste engagé a-t-il perdu toutes ses illusions ? Ou ce cynisme est-il une con­vention dramaturgique ? On penche pour la deuxième solution.

... mais c'est sans doute un des films de Clooney qui m'a le plus laissé sur la faim (même s'il n'y a pas grand chose à redire formellement)