• La conséquence de la guéguerre intestine entre les deux Citroen's Sebs (Loeb et Ogier), outre une déception certaine de voir le premier se mettre à pleurnicher comme un Delecour moyen lorsque les évènements ne lui ont pas été favorables cette saison, saison qu'il a néanmoins conclue avec un huitième titre consécutif, la guéguerre aura donc eu pour dommage collatéral de mettre Ogier à la porte de Satory, la cohabitation semblant impossible en 2012. Dommage que Quesnel n'ait pas su ménager chèvre et chou pour conserver celui qui sera à n'en pas douter un probable futur collectionneur de victoires, et de titres si le reste lui sourit. Ogier sur le marché, donc, avait le choix entre VW qui ne démarrera un programme complet qu'en 2013, et Ford qui, contexte économique oblige, n'était pas certain de poursuivre sous une forme officielle en 2012. Ogier a donc pris le risque de choisir une saison blanche pour bosser sur la Polo, choix courageux et qui sera je l'espère récompensé. Mais Ford vient finalement d'annoncer que la marque poursuivait son effort, et outre Latvala déjà dans les murs, vient d'embaucher Solberg, en galère depuis quelques saisons à courir sur une C4 privée financée par ses propres deniers (ou tout comme). Pour une bonne nouvelle ...
  • La conséquence (côté anglais) de la néo-zélandaise RWC qui s'est achevée sur le titre tant attendu des Blacks, c'est que Monsieur Wilkinson prend sa retraite internationale (mais va heureusement continuer à sévir en club sur la rade). Rugbyrama retrace (très succinctement, l'hommage est timide) sa carrière en dix temps forts : première sélection en 1998 face à l'Ecosse, rentré en fin de match à l'aile ; record de points (35) face à l'Italie lors du Tournoi des Six Nations 2001 ; le drop victorieux face à l'Australie en finale de la coupe du monde 2003 évidemment ...