Difficile "descente" après cette semaine sous le soleil tunisien. Météo super, contrairement à ce que nous laissait redouter Yahoo. Se laisser chouchouter sans penser à quoi que ce soit de contrariant ... Tennis (misère, le squash a fait des ravages, mais j'ai quand même trouvé un partenaire qui nous a permis de remporter le "tournoi" de double. Grazie Pepe, Giorgio et Rémy), hobbie-cat (10 ans après ma dernière sortie, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas. Enfin pas trop ... Mêmes enivrantes sensations de vitesse qu'en moto, sans les gravillons), piscine, bronzette (ça non plus, ça ne s'oublie pas), beach-volley, pétanque à l'ombre des palmiers quand le soleil tapait trop fort. Un tournoi en doublette avec un ancien rugbyman de haut-niveau, tarnais, une crème d'homme. 60 ans, 60 bornes de course à pied hebdomadaires, un accent terrible, et une régularité redoutable quand il s'agit de tirer (ce qui ne nous a pas empêchés de perdre 13-12 en demi-finale, à l'issue d'un match épique). Ephémère rencontre, mais assurément un bonhomme qui laisse des souvenirs.
Décollage de l'aéroport de Zarzis mercredi soir au coucher du soleil, par 25 degrés, arrivée à Roissy dans cet ignoble aérogare 1, il y fait 12 degrés. Béton moche, attente de la navette pour tenter d'attraper, en vain, le dernier RER. Taxi. Dodo. Depuis, j'ai l'impression que les gens me parlent un langage bizarre. Boulot, plannings, politique, Clearstream ... M'en fous, ce soir on s'échappe encore, en allant se promener virtuellement dans les vignobles de Loire et du Languedoc.
Vacances
vendredi 12 mai 2006. Lien permanent Humeurs