Pierre Assouline, à propos du roman Les Bienveillantes de Jonathan Littell, two points :
Le bouche-à-oreille demeure la clef du succès. Il n'y a que les imbéciles pour croire au "marketing littéraire". L'édition est un métier de joueur. On ne sait jamais rien du sort d'un livre. Dans ce domaine la, tout prévisionniste est un plaisantin. Au départ, ce livre avait tout contre lui : un premier roman d'un auteur totalement inconnu, traitant d'un sujet morbide et rebattu en près de mille pages bien tassées sans aération aux prix de 25 euros... De quoi pousser au suicide un as du marketing et lui faire comprendre, avant d'expirer, qu'un vrai succès littéraire ne se prémédite pas. Ce sont des aventures comme celles que vit "Les bienveillantes" qui font tout l'intérêt de ce métier depuis qu'il existe, et de la vie de lecteur.
Scott Adams, one point :
I have met quite a few horse lovers. My local area is full of them. They are all women.
So what is up with women and horses?
Women generally don’t enjoy activities that involve dirt, mud, hay, flies, bad odors, and huge piles of feces. I realize I’m stereotyping here, and some of you women will write in to say how much you enjoy rolling in dung. But on average, men and women enjoy different activities.
For example, if you said to both men and women, “Why don’t you stick your head up a cow’s ass and see if you can yell MOO loudly enough so it comes out of the cow’s mouth?” most women would say no thanks while most men would wonder if it would work. To be fair, most men would eventually say no too, but a few would try it before going off to watch Jackass II on Imax.