• Le 16 mars, le conseil constitutionnel aura reçu tous les formulaires envoyés par les maires des 36000 communes françaises concrétisant leurs promesses de parrainage aux différents candidats à la présidentielle, parrainages dont certains élus semblent avoir honte. A ce jour, le FN affirme ne pas être certain de récupérer les 500 signatures nécessaires. Est-ce un bien ou un mal pour la démocratie, j'ai du mal à me prononcer, mais là n'est pas le propos. Si Le Pen n'obtenait pas ces 500 voix, que se passerait-il ? Vers qui se reporteraient les 10 à 20% d'électeurs qui le plébiscitent habituellement ? Comment se rééquilibrerait l'échiquier ? Tous sur De Villiers ? Quel pourcentage sur Sarkozy ? Et combien à (l'extrême) gauche, puisque le FN se targue de lui avoir volé des électeurs ? Ce qui est à peu près certain, c'est que l'intersection des ensembles bayrouistes et lepénistes doit se rapprocher de l'ensemble vide, et que le candidat béarnais ne profiterait donc que très peu de l'absence de Le Pen. Moins que Royal ?
  • Un lycéen est écroué après avoir tué puis tenté de découper un de ses amis au couteau électrique. Vu comment on galère avec un simple rôti pourtant cuit, j'imagine à peine le carnage sur de la viande saignante.
  • Puisque personne n'est d'accord sur les méthodes de calcul de l'inflation réelle des biens de consommation courante (et du coût de la vie en général), l'INSEE propose aux ménages un simulateur personnalisé, paramétrable selon la pondération associée à chaque poste budgétaire. L'INSEE 2.0 ?