J'aime bien Pandora. J'en use et abuse maintenant que je peux m'en "servir" au boulot, même si je regrette que la programmation manque un tout petit peu de variété, du moins sur les radios que je me suis créées. Le modèle économique du bouzin me laisse cependant interrogatif, perplexe, et dubitatif.
Il y a désormais un petit nouveau sur le marché, Amie Street, basé sur une idée ingénieuse : la musique est initialement gratuite, puis au fur et à mesure que les utilisateurs la plébiscitent en l'écoutant, son prix augmente, parallèlement à la demande.