Se laisser bercer par les flots, certes mesurés, d'une piscine, sur un matelas pneumatique sous-gonflé (manque facile un bar à l'arrière), laisser travailler ses mélanocytes à la place des neurones sous la sèche chaleur azuréenne, ne pas se laisser impressionner par les virulentes critiques des éconoclastes sur le livre précédent de Stiglitz et lire Quand le capitalisme perd la tête dans un précaire équilibre sur le matelas sus-cité (le pauvre Joseph a déjà failli finir à la flotte suite à une joute sans merci contre un taon un tantinet têtu), sept doses d'eau pour une dose de Ricard, laisser macérer quelques jours à 30° ...
Farniente
mardi 28 août 2007. Lien permanent Ego
3 réactions
1 De Vicnent - 29/08/2007, 16:49
tu fais une grave erreur : Farniente vient de l'italien et signifie littéralement "ne rien faire" Far Nient : faire rien.
Hors visiblement, tu es bien occupé... J'allais demander un résulé du bouquin (ça vaut le coup que je me l'offre ?) mais non, vas y profite !!!!
Quel coin de l'azur au fait ?
2 De good_boy - 29/08/2007, 22:05
(A consommer avec modération, pour votre santé veillez à pratiquer une activité physique)
3 De Eric - 31/08/2007, 12:09
@Vicnent,
Entre Cannes et Grasse, chez mes parents.
Je suis loin d'avoir terminé le bouquin de Stiglitz, c'est plutôt bavard (près de 600 pages). A première vue je ne le mettrais pas dans la liste des indispensables à lire ... J'en ferai peut-être une synthèse express.