Se laisser bercer par les flots, certes mesurés, d'une piscine, sur un matelas pneumatique sous-gonflé (manque facile un bar à l'arrière), laisser travailler ses mélanocytes à la place des neurones sous la sèche chaleur azuréenne, ne pas se laisser impressionner par les virulentes critiques des éconoclastes sur le livre précédent de Stiglitz et lire Quand le capitalisme perd la tête dans un précaire équilibre sur le matelas sus-cité (le pauvre Joseph a déjà failli finir à la flotte suite à une joute sans merci contre un taon un tantinet têtu), sept doses d'eau pour une dose de Ricard, laisser macérer quelques jours à 30° ...