"Il n’y aura pas de contrôle positif cette année à Roland-Garros. Parce que le tennis est propre, disent les joueurs et ses dirigeants. Parce que le programme de lutte antidopage est conçu pour ne trouver aucun tricheur, disent les chiffres.

Si l’on excepte le cas de Richard Gasquet, suspendu deux mois et demi pour la forme mais dont la fédération internationale (ITF) avait validé la thèse du baiser à la cocaïne, la dernière suspension d’un joueur du top 50 remonte à 2005, avec le Slovaque Karol Beck. La dernière grande joueuse contrôlée positive est Martina Hingis, à la cocaïne, à la fin de sa seconde carrière (2007)."

Le tennis, ce sport où le dopage n’existerait pas (Rue89, 03/06/2012)