L'avantage, c'est que je n'ai pas besoin d'anticiper la vague (sic) des "Dis papa, pourquoi" qui devrait déferler d'ici trois ans, vu que je me les pose déjà tout seul. Or, donc, à l'occasion d'un beau week-end ensoleillé passé à contempler la côte basque, ou plus précisément à contempler […]