A propos des blancs, quelques notes plus sérieuses précises :
Latour-Martillac 2003 : pas mal du tout, élevage sophistiqué, du potentiel (++)
Couhins-Lurton 2002 : acidité marquante, très (mono)typé citron vert.
Fieuzal (2002 je crois) : joli nez, bouche vive sur les agrumes, bouche un peu moins nette que Couhins-Lurton.
Bouscaut 2003 : attaque ronde, puis un milieu de bouche qui perd tout gras pour laisser une finale sèche. Pas inintéressant.
Olivier 2002 : joli nez expressif, bouche complexe, finale un peu dissociée sur l'amertume et l'alcool (+)
Malartic 2003 : rond, agréable, belle fraicheur, peut-etre moins complexe qu'Olivier mais plus flatteur (le millésime ?) (+)
Smith Haut-Lafitte 2002 : j'ai juste noté +++. Donc c'était bon :-)
Pape Clément 2002 : nez déroutant (soufre ?), fumée (et non pas fumé, hein), cigare. Bouche à l'avenant, provocante, stylée, mais pas à mon goût.
Infanticides en Pessac-Léognan
jeudi 20 octobre 2005. Lien permanent Ethylo
Profité d'une soirée thématique "vins de Graves" il y a quelques jours semaines chez Lavinia pour gouter les fleurons des derniers millésimes en Pessac-Léognan. Ayant fini par les rouges, je n'ai noté pour ces derniers que des appréciations globales. Pas un grand souvenir des châteaux Bouscaut, Carbonnieux et Olivier 2001, impression plus favorable laissée par Fieuzal, Haut-Bailly, Latour-Martillac et Malartic-Lagravière, toujours sur le millésime 2001. Dans la dream team (Haut-Brion, Mission HB et Tour HB), je me souviens surtout de niveaux de fermeture différents, pour moi c'était sur le moment la Mission qui me donnait le plus de plaisir. Quant à prévoir l'avenir (lointain) de ce genre de vins ... c'est un métier, mais pas le mien.
une réaction
1 De AvecModeration - 04/03/2006, 14:27
Forts connus pour leurs blanc, les carbonnieux rouges avec quelques années derrières eux m'impressionnent (commentaire de dégustation du carbonnieux 89 sur mon blog