• Essai de la SuperMoto et de l'Adventure vendredi après-midi dans le cadre des "Orange Days" de KTM. Le 950 à carbus est attachant, mais la SM ne semble pas facile à apprivoiser, surtout dans le rapide. Le 990 injecté est un peu fade (à voir sur la SuperDuke avec 20 chevaux de plus et sans doute une carto différente), mais l'Adventure est plus facile. Une GS en plus moche (et plus mou !), quoi ...
  • Passage aux caves de Bécon dans la foulée. J'y prends livraison du Ledaig 31 ans que j'avais réservé, et en profite pour faire le plein. Régis me fait cadeau d'un Chénas 2003 du domaine.
  • On vise entre les averses pour aller manger un bout samedi chez M. et L. Leur schtroumpfette est un vrai clown. Après avoir larvé quasiment une heure sur le canapé en attendant que le soleil refasse une apparition, direction Lavinia pour aller goûter les armagnacs de chez Darroze. D'autres vignerons du sud-ouest sont présents, rien d'inoubliable à part les Jurançon du clos Uroulat (les mauvaises langues prétendent que la bonne humeur communicative et le charme de Marie Hours n'y sont pas étrangers). Discussion intéressante avec le maître de chai de Darroze. De belles eaux-de-vie, avec notamment un 80 et un 71 (les millésimés sont la spécialité de la maison, qui ne propose par ailleurs qu'un seul "12 ans" d'assemblage) qui sortent du lot. Le premier pour le nez et une belle matière encore jeune, le second pour les notes d'évolution et la complexité en bouche.
  • Concert le soir au Bataclan. Première partie longuette avec les Wood Brothers, l'un à la gratte, l'autre à la contre-basse. Des trucs sympa, mais pas ma tasse de thé. Arrive Terry Callier, avec un t-shirt à l'effigie de Miles, à la tête d'un septet (c'est la première fois qu'on le voit avec autant de musiciens je crois. Toujours Gary Plumley au sax/flute/sax alto, Chris Kibble au clavier, Bosco de Oliveira aux percus, Jim Mullen à la guitare). Grosse caisse et basse beaucoup trop fortes, c'est un massacre. L'acoustique (merdique) de la salle ne se prête pas à la voix cristalline du chanteur, c'est d'assez loin le moins bon des quatres concerts de Callier auquel on ait assisté (après le New Morning, le Sunset et Nice). Dommage. Heureusement Plumley est toujours aussi bon (mais l'ingénieur du son nous a bien peu laissé en profiter) et le morceau Live with me enregistré avec Massive Attack est une réussite.
  • Miam chez A. dimanche. Elle nous a gâtés : Lafon-Rochet 02 et Pontet-Canet 98 sur entrées diverses d'un traiteur yougoslave du marché d'Aligre, une belle salade de pousses variées, saumon et crevettes. F. et J.P doivent aller visiter une bicoque à Maisons-Alfort, on se quitte après quelques bons fous-rires ... Je suis très fier de mon gigot de "Mutant", qui me fait encore rire tout seul 24 heures plus tard.
  • Petit plouf dans la piscine en rentrant, c'est top.
  • Plus grand chose d'intéressant au ciné qu'on n'ait déjà vu, on tente La Doublure histoire de finir le week-end sans trop réflechir. Tout va bien, le riche qui a réussi est toujours aussi méchant, le pauvre looser un peu couillon est toujours aussi irréprochable. Je n'avais jamais remarqué qu'Auteuil avait à ce point un appendice Depardiouesque. Par contre j'avais déjà remarqué Alice Taglioni ... Hum, oui chérie ?
  • Federer gagne à Indian Wells, en dominant Ljubicic trois fois 7-6 en finale. Question posée à Sergi Bruguera sur la BBC : "How do you think Roger Federer now compares with the Pete Sampras of around 9/10 years ago ?" Réponse de l'intéressé : "Federer is ten times better than Sampras - there is a big difference. Sampras had one of the best serves ever, his returning was ok, and he had a very good forehand. But Federer has an even better forehand, better backhand, better returning game, and touch and feel. Their volleying is pretty even. But Sampras had the better serve, that was 90 per cent of his game. Federer has everything."
  • J'ai résisté, je n'ai toujours pas ouvert mon Ledaig !