Suite (et fin, sur le sol britannique du moins ?) de l'épisode lucrativo-corruptionnel impliquant British Aerospace et la famille royale saoudienne, dont je narrais quelques éléments fin 2006, bien renseigné par defensa.org et le Guardian. Je laisse donc à nouveau la conclusion à dedefensa[1] :
"La Chambre des Lords a contredit un jugement de la Haute Cour de Justice et a jugé pour son compte, sans appel cette fois, que le directeur du SFO, Robert Wardle, avait agi avec discernement, voire “héroïsme” selon certains Lords (le mot nous plaît), en acceptant d’arrêter l’enquête."
Il faut vraiment lire tout l'article, c'est passionnant.
Note
[1] enfin ... à Philippe Grasset